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Précommande : Succube T1


Bonjour à vous, lecteurs impatients ! Aujourd'hui, c'est l'ouverture des précommandes sur Amazon pour Succube ! Le compte-à-rebours pour la sortie finale, programmée pour le 15 décembre est donc lancé ! Vous avez aussi le droit à la découverte de la couverture ! Vous êtes prêts ? Attention les mirettes !


Elle est splendide hein ? Moi je suis fan je vous avouerai, même si elle fait un peu trop gentille. Encore et toujours de la talentueuse Linshaena. Découvrez son site : https://www.linshaena.com/

N'hésitez pas à faire un tour, ça vaut le coup d’œil ! Et elle prend des commandes... Je dis ça...

Mais alors Succube, c'est quoi au juste ? Eh bien, c'est l'histoire de Shanarah, une Succube donc, un être immortel, avec plus de 4000 ans au compteur, qui vit sa vie en la survolant et en fuyant les contacts humains, par peur de souffrir. Elle a perdu énormément d'êtres chers à travers le temps, souvent à cause de ses pouvoirs disons difficiles à contrôler.

Et elle va accepter un contrat qui va la mettre sur la piste d'une drogue qui pourrait la faire replonger dans ses plus sombres travers.

Et pour ajouter du piment dans sa vie, elle va tomber amoureuse d'une mortelle...

Un roman d'Urban Fantasy et de Romance lesbien, avec scènes explicites.

Ces deux extraits ne représentent en rien la qualité finale de l’œuvre, notamment car ces scènes ont été modifiées. Il s'agissait de 1er jet.

Intéressé ?

Achetez dès aujourd'hui ! Pour être assuré d'être livré le jour de la sortie ! Pour avoir ma reconnaissance éternelle ?

Pour avoir un rencard avec Shanarah ? Bon, ok, faudrait déjà qu'elle existe... Pour aider un auteur que vous adorez ? On se rapproche... Pour gonfler les ventes le premier jour et lui assurer une place en top marché et une potentielle mise en avant ? Ah, là on dit oui hein !

Alors foncez et obtenez plus de 450 pages d'amour ! (Format A4. Kindle parle de 600 pour une version imprimée, mais ça sera sûrement plus.)

Précommandes ouvertes donc et uniquement en numérique. Pour une raison simple, indépendante de ma volonté : L'impossibilité de faire des précommandes sur le format broché. (à moins que ça n'ait changé, je n'ai pas encore regardé, car le fichier papier n'est pas encore prêt :p) Je vous tiendrai informé de l'avancé, sachez juste que quoi qu'il arrive, ils seront disponibles à la même période, soit aux alentours du 15. ça vous permet donc de l'obtenir en version physique pour l'offrir à noël, par exemple...

Je donne juste des idées ! Sortie prévue sur d'autres plateformes ? Je suis en pleine hésitation concernant Kobo. Apogée s'est vendu à deux exemplaires en 11 mois. Il faut dire que ce n'est pas ma plateforme principale si celle pour laquelle je fais le plus de pub, mais le résultat n'est pas forcément très probant et empêche du coup de mettre en Kindle Select sur Amazon. (Mais est-ce vraiment utile, je ne saurai réellement le dire...)

Et pour d'autres plateformes, que ça soit en numérique ou broché, je ne me suis pas encore penché sur la question. Sachez juste que j'ai fait une demande d'ISBN auprès de l'AFNIL, donc, j'aurai de quoi faire d'autres brochés, et pas uniquement sur Amazon.

Je vous tiendrai de toute façon au courant et si vous avez des propositions, je me pencherai dessus avec sérieux !

Vous n'imaginez pas mon état actuel, entre joie, euphorie même, et appréhension, angoisse, voir même pls... Un flot d'émotion qui vont et qui viennent.

Il ne me reste plus qu'à vous laisser, et à vous dire à demain pour...

Quoi ? Vous voulez des...

Extrait, extrait ! Bon d'accord...

Faites tourner, sortie dans un mois, le 15 Décembre !

Bonne lecture !

PS : Les coquilles et autres fautes restantes sont en cours de corrections, n'ayez craintes !

 

Je me changeai, enfilant une ample chemise de nuit, avant d’aller me servir un chocolat chaud et de m’enfoncer dans mon canapé. Tina vint me réclamer de l’attention et je lui en offris. Un court frisson me saisit, me donna la chair de poule, comme un courant d’air. Je m’ébrouai, ce qui fit fuir Tina et je me décidais à aller me coucher quand on sonna à la porte. Une visite, à cette heure-ci ? Sceptique, j’allai tout de même jeter un œil par le judas, par acquis de conscience. J’ouvris la porte dans la seconde, surprise… et excitée.

— Andrew. (dis-je, un sourire aux lèvres.)

L’homme m’en offrit un en retour.

— Salut Brooks.

Andrew était un des rare immortels natifs, si ce n’était le seul, avec lequel j’étais en contact. C’était un Céleste. Autrement dit, une créature bien plus ancienne que moi, et forcément différente ! Bon, peut-être pas si différente en réalité, car les Célestes et les Génies ressemblaient beaucoup aux humains en définitive. Vraiment beaucoup… Il portait un blouson en cuir, une chemise noire et un jean. Une tenue simple mais qui lui allait bien. Il avait un début de barbe qui lui mangeait le visage, pas plus de trois jours, comme à chaque fois que je l’avais vu et ses cheveux étaient coupés relativement courts.

— Tu passes par la porte, toi maintenant ?

Il fit claquer sa langue.

— Bien qu’étant invisible aux yeux des simples mortels quand je le veux, tu ne sembles pas apprécier que je passe par la fenêtre, alors…

C’était vrai. Je n’aimais pas avoir l’air d’une folle qui faisait rentrer les courants d’air. Andrew, en tant que Céleste, disposait d’ailes qu’il pouvait aisément faire disparaître et qui lui permettaient de voler. Il aimait beaucoup en règle générale s’inviter chez moi en toquant à la fenêtre du salon ou de la chambre et j’appréciais qu’il ait décidé aujourd’hui de s’abstenir et d’opter pour un moyen plus conventionnel. Je m’écartai en secouant la tête, amusée.

— Entre donc. Tu sais que ce n’est pas une heure pour rendre visite à une dame ?

Nous nous rendîmes dans le salon et nous installâmes sur le canapé.

— J’étais de passage à Paris. Je serais bien venu plus tôt, mais tu n’étais pas chez toi… Et puis après ça, j’ai senti un tiraillement dans tout le corps et un frisson quand tu as usé de ta magie. Sur des mortels, ce qui n’est pas vraiment une bonne idée.

— Des voyous, monsieur le Céleste… (minaudai-je d’une voix plaintive.) Ils en avaient après ma vertu…

Il éclata de rire.

— Ta vertu… Ce qu’il faut pas entendre.

Je lui donnai un coup de poing dans le bras en réponse.

— Tu oses mettre ma parole en doute ?

— Jamais, jamais ! (fit-il en levant les mains, toujours en plein fou rire.)

Je secouai la tête d’un air faussement affecté.

— Tu veux boire quelque chose ?

— Non, je te remercie.

— Tu es venu me gronder alors ? (minaudai-je de plus belle.)

— Non plus… ça n’a pas très bien réussi à ceux qui ont essayé la dernière fois je crois bien.

Je repoussai sa réflexion avec une grimace sincère, me fermant aux souvenirs qui essayaient de s’imposer à moi. Je me sentis immédiatement furieuse de sa réflexion et il dut s’en rendre compte car il afficha une mine désolée.

— Je ne voulais pas raviver de mauvais souvenirs.

Je me contentai de hausser les épaules, dissimulant au mieux mes émotions derrière un masque impassible.

— C’est le passé… (dis-je d’un ton vague.)

Il opina et un silence gênant s’installa entre nous.

— Tu préfères que je m’en aille ? (demanda-t-il après un moment.)

— Pourquoi es-tu venu me voir ? (répondis-je, éludant sa question.)

Je n’avais pas envie qu’il parte. J’appréciais sa compagnie et elle se faisait de plus en plus rare.

— Je pensais à toi ces derniers temps. J’avais envie de te voir. Pour parler…

— Parler ? (le raillai-je avant de poursuivre d’un ton narquois.) Il me semble que c’est loin d’être notre activité favorite…

Je peux jurer l’avoir vu rougir. Un exploit ! Ma colère s’était dissipée. Il avait ce don, c’était en partie pour ça que j’appréciais sa compagnie.

— C’est un peu cavalier de venir et de prétendre… Enfin, tu sais…

— Me mettre dans ton lit ? Enfin, le mien, en l’occurrence.

Il grimaça, mais pas parce que ma réponse ne lui plaisait pas, simplement parce qu’il était un peu mal à l’aise. Ça renforçait son charme. Le genre d’aveu que je ne lui ferai jamais ! Je lui offris néanmoins un regard ardent, auquel il n’était pas insensible. Mon pied nu vint se poser contre son torse, puis descendit jusqu’à son entre-jambe.

— Tu hésites ? (lâchai-je, mutine.)

— Non.

Et il me souleva du canapé avant de m’emmener dans ma chambre. Je me débattis pour la forme, poussant de faux gémissement de consternation. Il me déposa sur mon lit et m’embrassa fougueusement. Habituellement, j’aimais prendre mon temps. Mais j’étais excitée par mes ponctions récentes et le voir rendait mon désir presque insoutenable. J’étais déjà toute humide, brûlante, et je n’avais pas envie d’attendre plus longtemps. Je lui retirai donc ses vêtements, me cambrai pour bien lui montrer ce que je voulais. Mes mains s’emparèrent de son membre que je caressais de manière experte. Il grossit entre mes doigts, une sensation que je trouvais agréable et je l’entendis grogner un peu, de plaisir. Il me pénétra sans plus attendre. Il ne fallut pas longtemps pour que j’atteigne l’orgasme, Andrew avait toujours été un amant très doué, et je le sentis se vider en moi très peu de temps après. Je l’embrassai tandis qu’il se blottissait contre moi. J’avais détesté ces petits gestes autrefois… Maintenant je les prenais pour ce qu’ils étaient, un instant de tendresse, sans plus. Il n’y avait pas de sentiments entre nous. Enfin, si, mais uniquement de l’amitié et rien d’autre. Et comme il était un Céleste, il pouvait dissimuler son énergie à mes sens, ce qui endormait mon appétit et nous prévalait de tout risque. Bien entendu, j’aurai pu le vider si je l’avais vraiment voulu, mais ce n’était pas le cas. Nous restâmes ainsi, l’un contre l’autre pendant un moment. Jusqu’à ce que son membre se réveille. Nous fîmes l’amour deux autres fois.

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